dimanche 26 janvier 2014

News du 26/01/14

Des petites news, mais des news tout de même !!


* Nous sommes en pleine création des badges goodies !



* Nous attendons les illustrations du bouquin d'ici la semaine prochaine !

* Quelques colos nous sont déjà parvenues !



* Nous attendons impatiemment de pouvoir vous dire si nous ferons la Japan Expo cette année ou non !

mercredi 1 janvier 2014

News du 01/01/14

Bonne année 2014 à tous ! Et pour commencer la nouvelle année... Aleks se fait un peu houspiller ! Je vous laisse voir notre extrait du chapitre 3 !

Après un café, Luc et Aleks retournèrent dans la chambre de ce dernier, qui, tout sourire, l'invita à entrer. Le jeune blond avait besoin de se défouler, et visiblement, Luc avait apprécié la vue de son corps lorsqu'il l'avait soigné. Refermant la porte, il entreprit de retirer ses vêtements trop grands, un sourire aux lèvres sous les yeux écarquillés du soldat. Est-ce qu'il faisait semblant de ne pas comprendre ? Grimpant à califourchon sur ses cuisses, et après un immense sourire, il se jeta sur lui dans une simple phrase, avant qu'ils ne se roulent dans les draps.

- Fais attention à mes blessures ! …

Aleks retenait tant bien que mal ses gémissements, mais Luc savait y faire, et sa libido, délaissée depuis déjà trois jours complets l'avait rendu dingue, alors même que le soldat lui avait avoué mal à l'aise qu'il n'avait pas baisé depuis des semaines complètes. Comment avait-il bien pu tenir ? Lui se sentait défaillir sitôt ses amants repartis. Il sentait les doigts de Luc s'enfoncer dans sa peau pour donner du rythme à leurs ébats, accrochés sans douceur à ses hanches délicates.

En ce dimanche soir, les gradés qui n’avaient pas déjà rejoint leur famille étaient en permission jusqu’au lundi midi. Vinzent, lui, bien fatigué par le marathon de l’après-midi, préféra rester au camp. Le général lui en confia donc la responsabilité… Il n’avait pas à s’en faire, il suffisait généralement que le bruit courre sur le fait qu’il était en charge du camp pour que tout le monde se tienne à carreau. Tandis que la nuit tombait, le major rejoignit son bureau. Alors qu’il réglait des papiers administratifs, il tomba sur le dossier du nouveau venu qui trainait sur son bureau. En parcourant à nouveau les pages, il s’arrêta sur sa photo et immédiatement, l’image de ses fesses pales marquées de rose lui revint en mémoire. Il soupira. Depuis combien de temps n’avait-il pas vu de femme ? Il aurait peut-être mieux fait de sortir ce soir, pensa-t-il en refermant le dossier et en glissant la main dans son treillis.

Une fois ses pulsions calmées, Vinzent se détendit enfin. Il se demandait si c’était son état de manque ou si c’était le garçon qui était un envoyé du diable, mais il devait bien avouer qu’aucun de ses soldats ne lui avait fait cet effet jusque-là. Par la fenêtre ouverte de son bureau, l’air frais de la nuit vint apaiser sa fièvre et il soupira d’aise. Alors qu’il contemplait le ciel nocturne, le noir profond se troubla d’une lueur artificielle et des bruits indistincts lui parvinrent aux oreilles. Il grogna, une lumière avait été allumée dans les dortoirs malgré l’interdiction… il soupira en se levant. Décidément, ces temps-ci son autorité était mise à mal… à quoi pouvaient-ils jouer ? Aux cartes ? Avec une radio clandestine ? Avec des magazines pornos ? Il faudrait qu’il leur rappelle à tous qui était le chef ici. 


Il referma sa braguette et se dirigea vers la source de lumière. A mesure qu’il approchait du bâtiment C, il entendait des soupirs lascifs, des gémissements et des cris étouffés. S’il n’avait pas la berlue et si ce qu’il s’imaginait était vrai… il sentait la fureur monter en lui, en s’approchant de la cinquième porte. 

- Aahh… Haann…

Vinzent s’arrêta à la porte d’à côté d’où provenait aussi des gémissements rauques et il perçut un commentaire salaces entre deux soupirs.

- Putain… il se fait vraiment tringler comme une chienne…

Il n’en fallut pas plus à Vinzent. Il ouvrit en grand la porte de la chambre incriminée comme plus tôt dans la journée, et fut accueilli par un gémissement lascif que le blond retenait à peine entre ses lèvres. Le sang afflua en masse dans les deux points opposés de son corps et la rage le prit. Traversant la pièce en deux enjambées, il attrapa le bras du jeune blond assit sur les hanches d’un soldat et l’envoya s’écraser à travers la pièce contre le mur opposé, les stoppant dans leurs jeux répugnants.

- Habillez- vous !

Ordonna-t-il hors de lui. Son seul cri avait fait taire tous les autres bruits équivoques aux alentours et les lumières s’éteignirent immédiatement sous les portes du couloir. Ses yeux remplis de dégout fixaient tour à tour les deux corps fins si rapidement désassemblés. Oui… C’était bien ce fichus blond qui pervertissait tout ce qu’il touchait, même les meilleurs soldats.